Parole de chanson Les lésions dangereuses Boris Vian
Tu l'as donc rencontré Dans un pauvre bistrot Où tu vas le matin très tôt Prendre un petit café Il venait tous les jours Et toi tu as fini Le voyant si triste toujours Par le trouver gentil Et hier soir dans ta maison Tu étais gaie comme un pinson
Ses yeux Qui te plaisaient tant T'avaient caressé D'un regard si tendre Sa bouche Qui te plaisait tant T'avait dit des mots Pleins de sentiments Son coeur Qui te plaisait tant Battait doucement Au rythme des rêves Ses mains Qui te plaisaient tant Etreignaient tes mains D'un geste enivrant
Il avait des beaux yeux Il avait des mains fines Une bouche bien dessinée Il était seul et digne Tu pensais à son coeur Tu voulais l'éveiller Imaginant sa pauvre vie Tu voulais l'égayer Mais hier soir dans sa maison Il était gai comme un pinson
Ses yeux Qui te plaisaient tant Regardaient le sang Couler sur la table Son coeur Qui te plaisait tant Sonnait à coups sourds Le glas des amants Sa bouche Qui te plaisait tant Murmurait des mots Qui te rendaient folle Ses mains Qui te plaisaient tant Poussaient un couteau Dans un ventre blanc
Não tenho por costume comentar as fotos que posto sem legenda. Mas permito-me aconselhar o anónimo das 3:28. Que leia Freud. A Bíblia também serve. Já se permite opinar sem o paizinho? E o seu comentário é sintoma de...?
Cada macaco no seu galho. Só assim se vive na Selva, oh senhores! pensam que podem opinar sobre tudo, mesmo sobre quem desconhecem?! Give me a break!!!...
9 comentários:
Parole de chanson Les lésions dangereuses
Boris Vian
Tu l'as donc rencontré
Dans un pauvre bistrot
Où tu vas le matin très tôt
Prendre un petit café
Il venait tous les jours
Et toi tu as fini
Le voyant si triste toujours
Par le trouver gentil
Et hier soir dans ta maison
Tu étais gaie comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
T'avaient caressé
D'un regard si tendre
Sa bouche
Qui te plaisait tant
T'avait dit des mots
Pleins de sentiments
Son coeur
Qui te plaisait tant
Battait doucement
Au rythme des rêves
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Etreignaient tes mains
D'un geste enivrant
Il avait des beaux yeux
Il avait des mains fines
Une bouche bien dessinée
Il était seul et digne
Tu pensais à son coeur
Tu voulais l'éveiller
Imaginant sa pauvre vie
Tu voulais l'égayer
Mais hier soir dans sa maison
Il était gai comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
Regardaient le sang
Couler sur la table
Son coeur
Qui te plaisait tant
Sonnait à coups sourds
Le glas des amants
Sa bouche
Qui te plaisait tant
Murmurait des mots
Qui te rendaient folle
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Poussaient un couteau
Dans un ventre blanc
Il préparait des merlans.
É sempre a mesma ou são duas?
É sempre a mesma ou são duas?
São duas!
Oh pá,
é só uma!
mas vale por duas!...
ehehehe!!!
parece-me muito frustrada.
serà por causa do pai?????
parece-me muito frustrada.
serà por causa do pai?????
Não tenho por costume comentar as fotos que posto sem legenda.
Mas permito-me aconselhar o anónimo das 3:28. Que leia Freud. A Bíblia também serve. Já se permite opinar sem o paizinho? E o seu comentário é sintoma de...?
Afinfa-lhes, Armando,
que merecem!...
Cada macaco no seu galho.
Só assim se vive na Selva,
oh senhores!
pensam que podem opinar sobre tudo,
mesmo sobre quem desconhecem?!
Give me a break!!!...
Enviar um comentário